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 I'm a Bitch I'm a Lover. | Alice

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Alice M. Benett

Alice M. Benett




DISASTER


DOUBLE PERSONNALITÉ : Pas encore
MUTANTS CROISÉS : 57
DOLLARS : 28661

JOB : Journaliste et danseuse à mes heures perdues.
RACE : Mutante.
HUMEUR : Comme au dessus de tout.




MessageSujet: I'm a Bitch I'm a Lover. | Alice    I'm a Bitch I'm a Lover. | Alice  EmptyJeu 28 Juil - 23:41





Alice Morgan Benett




 


Lieu de naissance ; Londres. Nationalité ; Anglaise. Nom ; Benett. Prénom/s ; Alice Morgan. Surnom/s ; Lice, Disaster. Âge actuel ; 26 ans. Statut civil ; Célibataire. Statut social ; Journaliste et danseuse à mes heures perdues. Orientation sexuelle ; Hétérosexuelle. Groupe ; Mutants. Race ; Mutante. Célébrité ; Kaya Scodelario. Crédit ; tumblr, Blakes.

description psychologique ; Courageuse, téméraire, grande gamine, toujours le mot pour rire, peux me montrer amicale. | Impulsive, têtue, solitaire, fragile, manipulatrice.


everyone has a power


Mon pouvoir, je l'ai découvert pendant mon adolescence. À l'origine, je touche une personne, je lui donne un ordre, et elle le fait. Et oui, j'arrive à contrôler les personnes que je peux toucher. Mais surtout, je les contrôle que si j'en ai réellement envie. Ces dernières agissent jusqu'à ce qu'elles aient réussi l'action demandée. Au fil du temps, j'ai découvert bien plus. J'avais un contrôle physiologique sur les personnes. Je peux contrôler les constantes physiologiques de mon propre corps, mais aussi celle de ceux dont je touchais pour les contrôler. Ainsi, je contrôle leur rythme cardiaque, leur fréquence respiratoire ou encore leur température corporelle. Ça aurait pu s'arrêter là, mais ce n'est pas le cas. J'ai aussi accès à des fragments de leur mémoire. Mais c'est encore une épreuve bien trop douloureuse pour moi et d'ailleurs, ce ne reste que très minime. J'ai connu ce pouvoir qu'avec très peu de monde, à vrai dire, ceux qui me résistait et qui ne me laissais pas entrer dans leur tête pour les manipuler. Cependant, il faut que j'avoue que je n'arrive pas à contrôler tout ceux que je touche. Au contraire, j'ai beau avoir une volonté de fer, il se peut que certains m'échappent. Je ne suis pas parfaite, mon pouvoir n'est pas parfait. De plus, quand j'échoue, j'ai un moment de récupération qui me met à la merci de mon adversaire.
Je sais aussi me battre. À la fin de mon adolescence, j'ai voulu apprendre à me défendre. J'ai donc pris des cours d'auto-défense, mais aussi des cours de karatés.


the story of a hero


Mon histoire est longue à raconter et parfois difficile à entendre. Mais, pour la comprendre, il faut remonter bien avant ma naissance. Quand ma mère se fit virer de chez elle pour avoir couché avec un garçon un soir. Non, elle n'était pas tombée enceinte, mais mes grands-parents étaient du genre extrêmement croyant. Alors, lorsqu'elle fut chassée de chez elle, il fallait bien qu'elle gagne sa vie, et quand on n'a pas de diplôme, le plus difficile, c'est de se faire une place dans la société. Et elle trouva vite la solution à son problème. Elle commença sa vie en tant que gogo danseuse. Mais ça ne lui suffisait pas, elle ne gagnait pas assez pour mener une belle vie, alors elle commença la prostitution. Je n'ai jamais su qui était mon père, et je ne pouvais pas compter sur mon imbécile de mère pour me le dire. L'alcool et la drogue étaient devenus, au fil du temps, son domaine de prédilection. Tout ce que je sais de ces rêves, c'est qu'elle voulait être avocate. Elle était loin d'y arriver.

Mon enfance ne fut pas la plus tendre de toute. Ma mère s'occupait à peine de moi. À vrai dire, j'étais un peu devenu la fille de tout l'immeuble délabré où vivait ma mère. D'ailleurs, la seule que je pourrais considérer comme telle était notre voisine. C'était un jour où j'étais dans le couloir, attendant que ma mère ait fini avec l'un de ce qu'elle nommait client, qu'elle m'ouvrit la porte de chez elle. Dans mes souvenirs, c'était une femme assez âgée, mais elle se montrait extrêmement gentille avec moi. Elle ne me voulait aucun mal, et protestait contre les agissements de ma mère. Sa manière de l'insulter me faisait rire. Je n'avais aucun lien avec ma génitrice. Je n'avais aucune envie d'être dans sa famille.

Ma mère ne m'envoya pas à l'école. Manque d'argent et de temps. Elle ne pouvait pas me payer mon cartable ni même mon uniforme. Celle qui me paya tout ça et qui m'envoya étudier, c'est notre voisine. Il était vrai que je passais beaucoup plus de temps avec elle qu'avec celle que je devais appeler « maman ». D'ailleurs, cette dernière semblait aimer mes absences, car elle recevait de plus en plus de « clients ». Plus le temps passait, plus elle me répugnait. Et la voisine l'avait très bien compris. C'est comme ça que je commençais à vivre avec elle.

Mais toute bonne chose à une fin. Alors que je rentrais des cours, je la vis étendu sur le sol. Je m'étais jeté sur son téléphone et composais le numéro des secours. Mais il n'y avait plus rien à faire. Elle était morte. Ma vie s'éteignit à cet instant précis. Je n'avais alors que onze ans. J'avais vécu pratiquement cinq ans chez elle. Et elle était morte. La seule que je pouvais considérer comme une mère était partie à jamais. J'en aurais voulu au monde entier, j'aurais voulu hurler. Mais rien n'y fait. Rien n'aurait changé le cours des choses. C'était comme ça, et pas autrement.

Je retournais alors chez ma mère, pour son plus grand malheur. Comprenant vite que je devrais arrêter l'école par manque de moyens, je voulais absolument trouver de l'argent et je l'avais fait comprendre à ma mère. C'est alors qu'elle me parla de sa boîte de nuit qui se fichait pas mal des normes. C'est ainsi que je commençais comme ma mère avait commencé. Je n'étais pas fière de moi, mais il fallait dire que je n'avais pas trop le choix. Je ne pouvais pas compter sur ma mère pour payer mes cahiers ou même mes stylos, et il faut dire que j'aimais l'école. Mais tout ne se passa pas comme prévu. Un jour, alors que j'avais seize ans, la police entra dans l'établissement et ce fut la panique générale. Pour la première fois, je comptais sur ma mère pour m'aider, mais elle n'en fit rien. Elle était déjà partie, me laissant seule dans les coulisses. C'est à ce moment qu'un policier m'attrapa le bras tout en me demandant l'âge que j'avais. Tout en essayant de le repousser, je lui ordonnais de me lâcher et de me laisser partir. Ce qu'il fit, à ma plus grande surprise. Ce fut la première manifestation de mon pouvoir.

Ma mère avait disparu ce soir-là de ma vie. Lorsque je rentrais à l'appartement, elle n'était plus là, ses affaires avaient disparu. Elle m'avait abandonné à mon propre sort. Je ne savais plus quoi faire, la seule chose qui me venait à l'esprit était de braquer une banque. Cependant, je ne pouvais pas courir le risque de finir en prison. Je voulais rester libre. Alors je voulais vérifier si ce qu'il s'était passé avec le policier était une simple coïncidence. Alors je sortis dans la rue, fis semblant de trébucher et me rattrapais à un mec qui passait par là. C'est alors que je lui ordonnais de braquer une banque et de déposer l'argent dans la poubelle en face de mon appartement et de courir jusqu'à chez lui une fois sa mission accomplie. Alors que je fis semblant de m'excuser, je rentrais chez moi, et attendais tout en regardant par la fenêtre, un sac-poubelle à la main. Et je vis l'homme en question arrivé et faire ce que je lui avais demandé. Je descendis précipitamment et déposais mon sac-poubelle avant de récupérer la valise qu'il venait d'y déposer. Je ne sais plus combien il avait volé exactement, mais ça suffirait pour continuer mes cours et partir de Londres.

Pendant dix-neuf ans, j'avais passé ma vie à dépendre que de moi-même, à ne compter que sur moi-même. C'était ce que me répétait la grand-mère qui s'était occupée de moi. Je ne devais avoir confiance qu'en moi-même. Et il faut dire que j'avais toujours été seule. Je n'avais pas d'amis. Je n'avais aucune attache. La seule qui aurait pu me retenir de partir, c'était bien ma regretté voisine. Mais elle n'était plus là à présent.

À vingt et un ans, je partis pour New York City. C'était une ville où j'avais toujours voulu vivre. Et j'avais gardé l'argent pour mon départ, mais aussi pour m'installer dans un appartement de meilleure qualité. Je n'avais plus envie de vivre dans les bas quartiers. S'en était fini des immeubles délabrés. Lorsque j'arrivais aux États-Unis, je m'installais dans un appartement assez luxueux. Je ne me refusais plus rien. Je décrochais même un job dans un journal, et, avec l'aide de mes pouvoirs, j'obtiens une très belle augmentation. Mais je n'avais pas délaissé le monde de la nuit pour autant. C'était un monde dont je n'arrivais plus à me passer. J'avais été élevée dans ce monde et j'avais du mal à m'en débarrasser. Alors, à la nuit tombée, je partais en boîte, danser comme on m'avait appris à le faire.

Encore aujourd'hui, il m'arrive de me servir des gens pour avoir de l'argent. Rien n'est assez bien pour une fille venant des bas quartiers comme moi. Mais, ce que je ne dirais jamais, c'est qu'un grand malaise s'est installé en moi depuis que je suis enfant. Je ne dirais jamais que j'ai besoin d'aide, que je veux des amis, qu'on me sorte de là. Et aujourd'hui, maintenant que le monde à changé, maintenant que je sais à quel point il est pourri, je n'ose pas m'ouvrir aux autres. J'ai trop peur de m'adresser à la mauvaise personne. J'ai l'impression que l'on pourrait me supprimer mes pouvoirs du jour au lendemain si jamais je me faisais un cercle d'amis. C'était encore quelque chose que je me refusais. J'étais née pour vivre seule.


pseudo ; alex. prénom ; Marion. âge ; 22 ans. pays ; Neverland. qu'est-ce qui t'a poussé à t'inscrire ? ; Dois-je vraiment y répondre ? tes impressions sur le forum ; Il est magnifique. Merci Whitney ! ♥ selon toi : quelque chose à améliorer ? ; // un dernier mot ? ; Je vous aime. ♥


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